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Travaux réalisés par les membres du séminaire

Actualisé le 19/04/2023

J'écris peut-être parce qu'on n'a plus rien à se dire  par Elisabeth Godefroy, 20/03/23

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« Je hasarde une explication: écrire est le dernier recours quand on a trahi. » Jean Genet. (Interview accordée au Nouvel Observateur n° 984. Nov 1982). Annie Ernaux a inscrit cette proposition en exergue de son livre La place. Elle y témoigne de son rapport à son père relativement au langage, à la langue, voire à sa lalangue.

Points de suspension, un père puzzle de Sybille Lacan  par Christian Havard, 12/01/22

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« Deux livres à tiroir, avec beaucoup de non dits, de points de suspension. Un double recueil d'émotions, de fragments de vie, de souvenirs familiaux épars sur un grand homme et sur sa mère. Sybille Lacan en fait un puzzle où il faut restituer la figure initiale, celle de la mère et de Lacan père, qui s'apparente aussi à un album de photos souvenirs...

ÇA QUI NE CESSE PAS DE NE PAS S'ECRIRE...  par Elisabeth Godefroy, 24/08/22

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« L’enfant réparé » de Grégoire Delacour. Un livre qui m’a mise mal à l’aise, des expressions énigmatiques (prendre le risque d’aimer sa douleur pour ne pas mourir. Un corps délivré). Alors je l’ai réemprunté afin de le relire. A cette relecture de près/de prêt il m’est apparu que c’est le corps qui fait la trame de ce récit. Depuis sa naissance, à la limite de l’asphyxie, le cordon ombilical enroulé autour du cou.

PROPOS SUR LE TRANSFERT EN PSYCHANALYSE. (EN - QUÊTE D'AMOUR  ET DE SAVOIR) par Elisabeth Godefroy, 04/06/20

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En cet étrange et inquiétant printemps 2020 où nous sommes impactés par le Signifiant Covid 19, angoissés ou pour le moins bouleversés par le réel de la mort à  notre porte et où le lien social est mis à l’épreuve,  je poursuis mon travail à propos d’un lien  particulier : le transfert en psychanalyse.

L'ETRANGER AU CŒUR DU DISPOSITIF DU DIVAN : RÉFLEXION AU DÉTOUR DE LA PHILOSOPHIE ET DE LA NOTION D’ALTÉRITE  par Cécile Cormeraie, 2016/01-02-2020

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Lorsque je rencontre mon analyste, il m’accueille d’un sourire léger et se déplace lentement pour m’inviter à entrer dans son bureau, marquant ainsi, tel que je l’interprète, le rythme propice au déroulement de la parole à venir. Un accueil sans affectation qui situe d’emblée la relation à autrui dans le cadre de la psychanalyse comme n’étant pas commune. Distincte en cela des relations courantes au sein desquelles un simple « bonjour » s’accompagne d’une altérité massive : le monde de l’autre, ses misères, banales ou pas, ses demandes, ses attentes, ses objectifs… Un bonjour auto-adressé en quelque sorte bien plus qu’adressé à autrui. Pour Buber (1923/1969), pour qui « toute vie véritable est rencontre », il faudrait que ceux qui se rencontrent se disent Tu avant que de se dire Je.

LE CORPS DE LA DEMANDE  par Elisabeth Godefroy, 02/02/20

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Pour ce séminaire qui trace sa route au grès des errances et des avancées de chacun je vais tenter pour ma part de poursuivre le travail que j’avais mis en chantier sous le titre « Transfert - Responsabilité ».


Je terminais en rappelant une recommandation de Lacan relative au passage, pour un analysant, du fauteuil au divan. Il n’y va pas quatre chemins : « À condition que vous ne l’ayez pas mis tout de suite sur le divan, auquel cas c’est foutu .Il est indispensable que cette demande ait pris forme »

LA TRANSMISSION DE LA PSYCHANALYSE AU FIL DES QUESTIONS VIVES ?  par Cécile Cormeraie, 08/10/19

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La pluralité de nos points de vue ainsi que la vivacité de nos échanges autour de la question de la passe dans la transmission de la psychanalyse m’a renvoyée à une notion découverte en sciences de l’éducation, celle de « question vive »[1].

 

Question vive, vivante, éveillée, brûlante, fulgurante, leste, mordante, pénétrante, aiguë... La liste des synonymes est stimulante. Une question laissée vive versus une question laissée pour morte...

 

[1] A noter que la notion est plus largement diffusée aujourd’hui sous la formulation « Question Socialement Vive » (QSV), qui euphémise à mon sens, tel un symptôme, une expression originale bien plus enseignante.

TRANSFERT - RESPONSABILITE  par Elisabeth Godefroy, 18/09/19

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Au cours de ma lecture du roman de Camille Laurens « Celle que vous croyez »[1] j’ai rencontré une phrase qui m’a fait signe : « J’aime bien cette idée qu’on est responsable de l’amour qu’on suscite, c’est-à-dire que d’une certaine manière, à défaut d’y répondre, on en répond. »

Cet extrait exhale pour moi un fort parfum de transfert et de responsabilité. Je vais y associer une relecture du livre de Saint-Exupéry « Le Petit Prince » et un extrait de Lacan de la Conférence à Genève sur « Le symptome ».

Sommaire des textes référencés, travaux et interventions

du séminaire d'Aix en Provence

Actualisé le 21 septembre 2019

 Actes du colloque

"Psychanalyse et transmission"

Actualisé le 27 juin 2018

Acte d colloque

Pour lire les interventions,

cliquer sur les titres ci-dessous

Textes produits suite à notre proposition d'écriture :

Association libre

Proposition d'écriture en quelques mots ou phrases

 

"Psychanalyse et transmission", ça m'évoque...

Le besoin de transmettre par l'Autre ce qui paraît intransmissible pour l'autre.

Passé jamais dit, jamais référencé, jamais évoqué. Nécessité de le découvrir et de le replacer dans une histoire générationnelle, de le redécouvrir. Manque d'une découverte "familiale" et globale et non pas unique à la personne. Transmettre en conscience.

Que je ne suis pas à la hauteur !

Mais que c'est peut-être un bon début ?

Les écoles formelles

Les groupes de psychanalystes qui participent à l'extinction de la psychanalyse.

Dette

Savoir

Eduquer

Intime et Public : une gageure

José GUEY !

La succession des générations...

La vie qui continue.

Ce que nous recevons activement nous transforme et un jour, nous devenons passeur pour un autre qui sera touché par ça.

Que reste-t-il de nos amours ?

Un sujet désirant...

Qu'on est bien embêté avec ça depuis le début.

Ce qui peut se transmettre dans une époque troublée où l'ordre symbolique est mis à mal. Et ce qui peut se transmettre de la psychanalyse elle-même.

Psychanalyse 

ou psychanalyses

Dure, dure, l'association "libre".

Humanité

Liberté

Peut-on transmettre son travail analytique, unique pour chacun ou chacune ?

Certains ont parlé de leur psychanalyse mais n'ont certainement pas tout dit.

D'abord un retour sur ce qui "nous a été transmis", les sédiments sur lesquels peut s'élaborer sa propre construction intérieure.

La psychanalyse permet de prendre conscience d'être "passeur", une couche sédimentaire "entre" celles du passé et, peut-être, sans savoir ce qu'il adviendra de son épaisseur, de sa qualité, de sa résistance, celles de l'après.

 Témoignages

"Petite histoire d'un séminaire"

Publié le 3 octobre 2017

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Jacqueline Courouble

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Une demande

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Urbain Azard

​

 

 

 

Jacqueline Mathieu

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Histoire de parler du séminaire du mercredi à Aix en Provence

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​

Elisabeth Godefroy

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Accusé de réception

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​

Denis Langue

​

 

 

​

Une petite histoire de ce séminaire

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​

laurence Sordini

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